Oui Darou,
Mes idées (je n'ai eu aucune lecture initiatrice du phénomène, sauf la comparaison à la fumée du tabac passée à la TV) me paraissent évidentes, mais pas du tout aux nombreux médecins à qui j'ai refilé mon texte (à qui j'ai enseigné le B-A-BA de la chimie durant toute ma vie), mais qui heureusement pour notre survie étaient plus doués pour la médecine.
Cela dit un "jeune" (/ à moi) prof. de chimie de l'ULiège très important dans cette Univ, m'a totalement approuvé.
Mes idées datent de mars 2020.
Ma seconde version (anecdotique par rapport à l'idée principale) souligne un peu la bicouche lipidique.
L'étude des chondres n'est pas étrangère à ma réflexion. Ces mini-sphères d'oxydes et silicates fondus se mettent en boules en apesanteur et se couvent aussi d'une croûte (une rim).
Le fait que je sois chimiste organicien de formation (la biochimie était quasi inexistante dans les années '50), et comme la minéralogie (une passion parallèle) m'a conduit vers des sphères minérales, j'ai acquis une vision assez horizontale de la chimie. Sans compter qu'il me fallait aussi enseigner les bases générales de la chimie aux candidats médecins, et jadis aussi pharmaciens etc. Mais mon métier principal était chercheur sur une paillasse.
Je n'ai jamais compris l'équation de Schrödinger (voir sur WIKI) et j'ai même acquis une tendance à fuir ceux qui la comprennent.
Last but not least, je ne me souviens plus si je vous ai parlé de la luxullianite, la roche granitique qui s'est dégommée en abandonnant des sphérulites de tourmalines qui en lames minces (what else) donnent naissance aux très rares croix de Malte d'extinction en lumière polarisée croisée. Vous pouvez aller voir à Londres dans une basilique le tombeau du duc de Wellington fait de ce granit. Napoléon était son "copain" et Napoléon l'a même imité dans la façon de poser sa main dans son revers pour prendre des selfies.
Il était donc normal que je me pose la question pour comprendre comment le virus volait dans l'air. En résumé, il se comporte comme la fumée du tabac, si ce n'est que ses volutes sont invisibles et d'autant plus sournoises.
Le masque doit donc se porter serré sur le nez juste en-dessous des yeux.
Le trajet du virus: le poumon émetteur vers le poumon récepteur.
Lessiver les rues n'a pas de sens, ni les sièges des tire-culs de haute montagne.
Interdire le ski est une erreur. Favoriser les bars au pied des pistes est l'erreur.
Quant aux postillons, un parapluie aurait pu suffire.
Le danger est l'air que nous respirons.
Comme vous le suggérez, tous les virus devraient se comporter ainsi.
Je reste à votre contact pour aussi mieux comprendre le phénomène.