Le magazine "Meteorite" a vécu

Pour des revues à la diffusion assez confidentielle comme celle-ci, c'est malheureusement la seule solution pour les rendre viable économiquement parlant. On en à pas mal discuté avec Jean Michel et je pense que c'est la seule solution pour qu'elle soit pérenne.

Si à chaque numéro, l'éditeur perd de l'argent ce n'est pas un modèle très viable dans le temps.

Mais, c'est vrai que comme toi Roger, je regrette ce que sont entrain de devenir les bibliothèques ... j'ai vu arriver le changement à la bibliothèque de l'Observatoire Midi Pyrénées, et je suis heureux d'avoir commencé mes recherches à une époque ou il y avait encore des revues papier à feuilleter pour soulever un peu de poussière ...

Aujourd'hui il suffit d'avoir un accès en ligne et il n'y à même plus besoin de se déplacer à la bibliothèque ... dommage pour les charmantes bibliothécaires

Je n'ai pas de charmante bibliothécaire à vous offrir, mais si vous me faites un jour le plaisir de passer à la maison, il y a quand même beaucoup de papier en plus des cailloux (de la BD aussi, hein !).

J'ai aussi des autographes de Saint-Saëns, Lamartine, Lafayette... en virtuel ça ne donne pas, rien à faire.

Triste pour la belle initiative de Jean-Michel, c'était une belle aventure, merci !

Meteorite Magazine dont parle Roger est une revue en anglais, avec beaucoup d'article avec plusieurs auteurs, pour moi aussi c'est fini avec mon météorite mag, petit tirage et aucune marge et beaucoup de stock, trop de boulot aussi et il est vrai qu'en ce moment je suis plus dans la musique avec mon nouveau groupe que dans l'espace, ce qui ne me motive pas pour écrire des articles.

Une bien triste nouvelle, tout devient numérique même les journaux de mes enfants, déjà qu'ils passent trop de temps sur la tablette !

Oui, mais......
Comme j'ai eu le "plaisir" (pas vraiment) d'etre aux premieres loges de cette histoire, j'estime que la conclusion aurait pu etre differente. L'editeur en chef actuel ne fait vraiment aucun effort envers les lecteurs, auteurs, ou publicite, il ne fait meme pas l'effort de venir au salon de Tucson. Vous n'avez qu'a compter le nombre de pages ou il fait sa propre publicite ou ecrit ses propres articles, parce qu'il n'a rien d'autre a publier. Ici, il nous donne l'impression qu'il n'est pas interesse, et peut-etre meme ravi d'en etre debarasse.