Généralités,histoire.

Quelle est la plus grosse météorite tombé en France?

Un corps céleste tombé sur le limousin,à Rochechouart,Haute-vienne,il y a 160 millions d'années.L'énergie dégagée parla collision valait celle d'un million de bombes thermonucléaires de 2 mégatonnes,soit encore 1,2.10²² joules.Sur 80 Km² autour de rochechouart,on trouvait des brèches,fragments de roches vitrifiées et pierreuses.Cette petite planète arrive sur Terre à 10 000 Km/h,pèse un milliard de t et creuse un cratère d'environ 20 Km de diamètre,érodé ajourd'hui.
Le cratère qui s'est formé dans le Kazakhstan,il y a 425 millions d'années,et dont le lac Tenghiz n'est qu'un petit vestige,a 650 Km de diamètre et 10 Km de profondeur;sa superficie vaut celle de la France entière

Pour toute la Terre,il doit tomber 500 Kg de météorites tous les 30 ans,1 météorite de 50 t (diamètre:2,25 m pour les sidérites;3 m pour les aérolithe);tous les 150 ans,1 de plus de 220 t (diam.4,80 m à 3,60 m);tous les 100 000 ans,1 de plus de 50 000 t.
Une météorite pesant des milliers ou des millions de t n'est pratiquement pas freinée par l'atmosphère.sa vitese d'impact est de d'env.20Km/s et le le maximum de pression peut atteindre 104 t par cm².
Il faudrait une météorite de plusieurs milliers de milliards de t pour déplacer l'axe de rotation de la Terre.Nous avons unrisque sur des centaines de millions d'en rencontrer une.

quid79!!

Dsl,car je n ai pas pu étre un plus vulgaire..mais d'autres infos seront spécifique et dans la paix,et la vie

Intéressant!

sorry mes amis je m esxcuses d échouer de mise en post un document sur les plus grosses meteorite cette fois au maroc,mais je crois que le lien est indéplaçable.à trés bientôt

Bonjour, si tu as un document tu peux me contacter par MP, je le transférerai sur une adresse web pour le poster sur le forum

Pas mal, et beau boulot de journaliste, on nous a habitués à pire...

Je pense que les informations reportées par « Farouk » devraient être reportées dans une autre section, mais je voudrai apporter quelques précisions, à savoir que le cratère de Rochechouart est daté à environ 214 Ma (Kelley and Spray, 1997, Meteoritics & Planetary Science) et récemment dans un abstract présenté à la MetSoc conférence de cette année (2009), Schmieder et al. montrent que le cratère de Rochechouart serai même un peu plus jeune, soit vieux d’environ 200-201 Ma.

Concernant le lien vers ce site (http://www.aeronautique.ma/meteorite-geante-au-maroc_a196.html), ces travaux ont été publiés par Brooks et al. dans Science en 2003 ; l’auteur de l’article ne présente pas selon moi de preuves d’impact !, et cela a aussi été commenté par Racki & Koeberl dans Science en 2004, avec une réponse dans Science en 2004 par Brooks et al. Plus récemment en 2006, un papier a été publié dans EPSL par Schmitz, Brooks, and co. et ils démontrent que la géochimie ne colle pas avec leur histoire d’impact. Il s’agit donc ici d’un non évènement !...

... tu penses que Brooks ou un acolythe s'est donc fait mousser en parvenant à
se faire publier dans "Le Monde" alors que leur thèse semble discréditée ?
... il est vrai
(je n'avais pas remarqué), que l'article date de 2006, justement.

Publié dans "Le Monde"???... quoiqu'il arrive le Monde n'est pas un journal scientifique, donc rien n'empêche de publier n'importe quoi, puisque certains arrivent à publier des choses totalement fausses même dans des journaux avec reviewers...
Pour info, dans leur article, Brooks et al. n'émettent pas une "thèse"!, mais il affirment avoir fait une super découverte...

S'il fallait se fier aux infos publiée dans la presse en matière de cratères et de météorites...
"le monde" n'échape pas à la règle, pas plus que les autres titres connus (BBC online, etc..)

Sans revenir sur le débat de Brooks - Racki & Koeberl , n'oubliez pas que le principe de la presse qotidienne est de relater un évenement le plus tôt possible, quand on y revient plus tard, cet évenement devient du réchauffé, une sorte de non évenement sur lequel on hésite à revenir, car il est moins vendable.

Le principe de la presse quotidienne d'internet: copier-coller, sans vérifier la source, et sans aller + en profondeur.
Quand la source initiale est peu fiable, cela fait de beaux dégats. Mais cela permet à un texte complètement idiot de se retrouver sur des dizaines de sites d'informations, ce qui décrédibilise le site d'info ou crédibilise le texte idiot, à vous de choisir.

Un exemple? Deux météorites trouvées cette semaine par des enfants, l'une en Grande Bretagne, et l'autre en suède. Les deux météorites sont évidemment fakes (le genre de cailloux noiratre qui vient polluer le forum en ce moment).
Mais en période de Perséides, cela fait vendre... et le moindre truc est publié...

Mais où est donc passé votre esprit critique bordel?

20-100

Ce qui est importantcomme;a dit Darkangel,que la science aujourd hui pourrai facilement se débarrasser des wrongs sans avoir besoin beaucoup de temps comme avant..
Personne n est plus curieux dans ce monde!!j avoue que nos scientifiques pourront aussi dépasser ces controverses wrongs avec un peu de gratitude!

Notre esprit critique ? Moi je trouve juste que l'article du Monde, même s'il dit
"viennent de démontrer" alors que ce n'est pas le cas, balise mieux le débat
que ce qu'on voit souvent dans le genre "n'importe quoi", justement...

J'ai certainement manqué un épisode car je ne trouve aucun article récent du Monde qui parle de la pseudo-découverte de Brooks and co.!...

Quoi qu'il en soit MEEEERDE : lefigaro.fr, samedi 05 Août 2006.
Pas trop dur le gage, pleaaase, j'ai eu une enfance difficile et j'ai trois belles-mères
à charge...

Okay, donc pas dans le Monde et pas vraiment récent...
Merci pour la précision!...

Salut tous le monde,

Généralité et Histoire.J'ai fouillé un peu partout pour chercher un endroit pour cette carte de visite made in Morocco 100%;j'espère bien qu'il vous plaire avec mon respect à tous les gens professionnels,à tous amateurs et passionnés...

«battre le meeting»

Peu médiatisés, des hommes et des femmes font la renommée internationale de la science marocaine. Cartes de visite.


À chaque fois qu’on entend parler d’un chercheur marocain, on aprend qu’il vit et travaille à l’étranger. Les stars sont les astronomes, à commencer par Merieme Chadid, astrophysicienne en France, qui a fait parler d’elle en 2005 en allant tester des instruments astronomiques en Antarctique. Ou encore Kamal Oudrhiri, ingénieur à la NASA, qui s’occupe des communications avec les sondes et les robots envoyés
dans l’espace. En biologie, difficile de passer à côté du succès de la start-up du Suédois d’origine marocaine Mohamed Homman, qui a inventé une technique bioinformatique de pointe pour identifier les virus. En France, Mounira Amor, directrice de recherche au CNRS, s’illustre en biologie cellulaire. Quant aux physiciens-chimistes, ils semblent surtout s’épanouir au Canada, comme Mostapha Bousmina qui a reçu de nombreux prix pour ses recherches sur les polymères, Jamal Chaouki, un as des procédés chimiques, ou encore Samir El Omari, qui a breveté un alliage révolutionnaire pour la recherche spatiale. Pourtant, pas besoin d’aller si loin pour trouver des chercheurs marocains qui brillent dans la communauté scientifique internationale. Au Maroc, l’innovation des scientifiques est même d’autant plus remarquable qu’ils ont souvent moins de moyens. Passionnés, très engagés sur le terrain, certains sont de vrais pionniers dans leur spécialité.
ASTROPHYSIQUE. Zouhair Benkhaldoun


Avec un peu de chance, le Maroc pourrait bientôt se placer au premier rang de l’astronomie mondiale. En effet, il est sur la liste des quatre pays présélectionnés pour accueillir l’ELT, le plus grand télescope du monde, de 42 m de diamètre ! Si l’Atlas est choisi pour développer ce projet international sans précédent, ce sera grâce à l’obstination de Zouhaïr Benkhaldoun. Patiemment, il a construit les bases d’une astrophysique de pointe au Maroc. Après un doctorat de physique à Marseille en 1985, il obtient facilement un poste à l’université de Marrakech. Mais ce passionné d’astronomie doit se contenter d’enseigner diverses branches de la physique, car il n’y a pas de chaire d’astrophysique au Maroc. Qu’à cela ne tienne, il installe une station d’observation à l’Oukaïmeden, dans le Haut-Atlas, et présente en 1994 un doctorat d’Etat “mention astrophysique”, basé sur l’étude de qualité de ce site. Ses travaux, qui contribuent à améliorer les performances des télescopes, ont également un autre objectif à long terme : faire connaître la qualité des sites d’observation de l’Atlas à la communauté internationale. Peu à peu, il constitue une équipe d’astrophysiciens en “recrutant” des doctorants, jusqu’à obtenir la création du Laboratoire de physique des hautes énergies et d’astrophysique en 1999. L’équipe qu’il dirige s’illustre notamment en mettant au point un instrument qui mesure la qualité d’observation, le Single Star Scidar, testé en Antarctique par Merieme Chadid. Enfin, le premier observatoire professionnel du Maroc, avec un télescope de 35 cm de diamètre, est inauguré en 2007 à l’Oukaïmeden. En attendant l’ELT ?


PHYSIQUE. Rajaa Cherkaoui El Moursli
La passion de l’infiniment petit


Si le Maroc est le seul pays africain à participer au projet international du LHC, le plus grand accélérateur de particules jamais construit, Rajaa Cherkaoui y est pour beaucoup. Elle est tombée dans la physique nucléaire pendant ses études à Grenoble. Après son doctorat en 1982, elle a une proposition pour travailler au CNRS à Paris, mais sa famille la pousse à accepter un poste à l’université de Rabat. Heureusement, cela ne l’empêche pas de continuer à collaborer avec le laboratoire de Grenoble. Ses relations vont contribuer à faire entrer officiellement le Maroc, en 1996, dans l’ambitieux projet du LHC, conduit par le Centre européen de recherche nucléaire (CERN). Le LHC est un tube circulaire de 27 km enfoui à 100 m de profondeur près de Genève, et où règnent un froid et un vide poussés. Courant 2009, il sera fermé pour des années, et des faisceaux de protons (particules des noyaux des atomes) y seront propulsés à une vitesse proche de celle de la lumière. Les collisions entre protons vont libérer une énergie si élevée qu’elles vont recréer les conditions qui ont regné une fraction de seconde après le Big Bang. A chaque collision, les sous-particules qui constituent les protons apparaissent pendant un temps très court : ce sont les particules élémentaires (quarks et bosons). Grâce à ces énergies, les chercheurs espèrent observer des flopées de nouvelles particules - et surtout, trouver les signes d’une nouvelle physique, validant les modèles de la physique théorique. L’équipe marocaine dirigée par Rajaa Cherkaoui, qui s’intéresse particulièrement aux quarks “top”, participe à la construction d’un des quatre détecteurs situés autour du LHC, appelé ATLAS. Rien à voir avec nos montagnes, mais avec ses 44 m de long, c’est le plus gros instrument jamais construit par l’homme !


GEOCHIMIE. Hasnaa Chennaoui
Une scientifique qui a de l’impact

Quand on chasse les roches extraterrestres, le Maroc est réellement le plus beau pays du monde ! C’est ce qui a poussé Hasnaa Chennaoui, après son doctorat de géochimie à Paris, à se spécialiser dans l’étude des météorites à l’université de Casablanca. En effet, une bonne partie des météorites lunaires et martiennes (les plus rares) ont été trouvées au Maroc. La plupart sont ramassées par des nomades du sud, habitués à reconnaître les roches extraterrestres pour les vendre aux collectionneurs (les roches lunaires se vendent à partir de 1000 euros le gramme). Faute d’un muséum national marocain doté de fonds pour acquérir des échantillons, les scientifiques sont réduits à grappiller quelques fragments quand les amateurs leur confient une roche pour identification. Heureusement, de temps en temps (pas plus d’une fois tous les 5 ans), le matériel tombe du ciel. Dès qu’on signale une chute, Hasnaa Chennaoui se précipite sur le terrain pour retrouver les précieux cailloux. Mais plus souvent que dans le désert, on la trouve dans des laboratoires à Paris ou à Londres, où elle étudie des échantillons (souvent marocains). Elle a ainsi identifié, dans des météorites lunaires, des minéraux d’ultra-haute-pression, la stishovite et la seifertite, qui montrent que ces roches ont subi un choc majeur il y a 3 milliards d’années. Un argument précieux pour la célèbre théorie selon laquelle la Lune s’est formée à partir de matériaux de la Terre, après un gigantesque impact.


[/b]Telquel

AÏE AÏE... Quelle coincidence,il aparaît que c'était pas du hasard!!!!!
Y a t il vraiment un débat dans cet effort publié sur Figaro en 2006...???Moi j'aurais le croire et sans 'selon' Brooks ou Barrat??

A Mech Irdane, Brooks Ellwood et ses collègues ont retrouvé à la limiteentre l'eifélien et le givetien (E/G), deux étages biostratigraphiquesdatant du milieu du dévonien (- 380 millions d'années), des quantitésimportantes de «quartz choqués» et de microsphérules (cristauxd'origine métamorphique générés par l'impact d'une météorite), desconcentrations très élevées de nickel, de chrome, d'arsenic, de cobaltet de vanadium suggérant, par le fait même, une origine extraterrestreet enfin une forte baisse de la proportion d'un isotope du carbone, leC13. Ce paramètre est le signe d'une perturbation de l'activitébiologique, probablement attribuable à la chute de la météorite
http://www.aeronautique.ma/meteorite-geante-au-maroc_a196.html

!


Mortimer

A ce point ...Ta contribution ci-jointe est modique,mais ton soutien,est ce sincère ...!!? s'il y aurait des

arguments ?? serait ce suffisant ? Qu'estimer de clore le

débat

Tiens,https://meteorites.superforum.fr/discussion-generale-f7/identification-de-crateres-t2711.htm?highlight=identification+crat%e8re, Et rassures toi,une fois que tu respectes la Loi...!tu comprendras qu'il n'y a pas seulement moi,dans cette affaire ,tu trouveras sans doute un terrain d'entente avec des gens compétents! qui n'hésiteront point à t'illuminer la voie Sincèrement au cas où,dans le Forum...! Good Luck

Mortimer

...Eh ! Je ne suis pas apte pour adopter ou soutenir une telle hypothése ,quand même j'avoue que ce n'est pas trés compliqué le débat .Probablement,il y aurait quelques pistes à reconcquérir...
Tu es le seul et qui as souligné au début de sujet les périodes des chutes et de structures à travers le temps, ce Laboratoir ne valait pas sa part !!
Le pas De ces chercheurs de l'expédition en colaboration avec les Marocains ,a été comme même basé théoriquement autour des métamorphismes de chocs et l'effet de l'impacteur ... ,et s'il faut revenir et fouiller le passé ,c'est une terre qui englobe d'autres secrets ,séduisante par son patrimoine naturelle... Notamment, les recherches dans ce sens ,nécéssite de grands budjet ,aurait fallu bénir l'initiative ,Non à essayer de clore la question ... ! Sinon,ni la communauté scientifique se motive avec,ni les spécialistes continueriont ce qu'ils ont commencé... !
C'est clair qu'aucune référence ,démontrant un tel Impact majeur ,où il n 'y avait pas de photos Mission ... reste de concrétiser les preuves qui ne sont actuellement pas convaincantes .
Pour conclure ,j'avais évoqué d'un point de vue vulgaire ,qu'il est vraisemblable ,qu'il s'agissait de traces Mineurs possibles ,qui ont poussé Brooks et ces collègues à Adopté légalement leurs thèse et la médiatiser... ,pour qu'ils fassent comprendre à leur interlocuteur ,qu'ils sont en quête des preuves ,dont il faut le leur redemander de quoi il s'agirait... ! Je dois ,rappeler que c'est n'est pas si modique ta contribution ci-jointe ,par contre elle est pertinente à mon humble avis .